Sentiers vers les Petites Unités Souveraines Confédérées
”Les nations reviendront vers Moi;
d’autres nations se libéreront” — Le Signe 28/20

les ouvriers de la Moisson en Provence, Marseille

16 septembre 2025

table des matières

1 introduction
2 contexte, naissance et sources du projet
2.1 contexte du projet
2.2 ”La Vérité, c’est que le monde doit changer”
2.3 naissance du projet
2.4 sources du projet
3 contexte de publication et objectifs du document
3.1 contexte de publication
3.2 objectifs du document
4 surface sociale du projet et public de destination
5 liens sur le Web
6 remarques générales

1 introduction

Cette page présente les grandes lignes de la recomposition des larges masses humaines en lesquelles est aujourd’hui façonné notre monde (à de rares exceptions), vers de petites unités souveraines et confédérées (acronyme : PUSC), telle qu'elle est envisagée au sein du mouvement des pèlerins d'Arès.

L'établissement d'un tel contexte de vie en société doit favoriser un changement heureux de l'homme, dans la mesure où ces petites unités sont fondées sur des valeurs d'amour, de paix, de pardon, d'intelligence, de liberté, etc. et peuvent être économiquement viables dans une frugalité raisonnée et stimulante.

Voici les principales raisons qui amènent à ces considérations :

Cette initiative a été lancée par Michel Potay (1929 - 2025), dit frère Michel, témoin en 1974 et 1977 du Signe et fondateur naturel du mouvement des pèlerins d’Arès, dont certains d’entre eux ont commencé de s’atteler à la tâche.

À Marseille et dans d’autres villes de France, les premiers pas de cette démarche ont été publiés, comme dans cette présente page qui fera l'objet d'un manifeste plus étoffé sur le sujet.

Il complète d’autres propos et écrits du frère Michel et des pèlerins d’Arès impliqués à divers degrés, et ne représente qu’une des diversités d’expression parmi d’autres possibles présentes et à venir.

Une liste de références sur les pèlerins d’Arès, le frère Michel et le Signe est disponible en bas de page.

2 contexte, naissance et sources du projet

2.1 contexte du projet

Le mouvement des pèlerins d’Arès est un mouvement spirituel areligieux, apolitique et alégaliste, sur les généralités duquel il n’est pas lieu de s’étendre dans le présent document.

Mais pour le public qui n’a pas connaissance ne serait-ce que des grandes lignes de ce mouvement et de son message fondateur, on en rappellera utilement l’une des caractéristiques essentielles pour comprendre le cadre et l’esprit de cette initiative.

2.2 ”La Vérité, c’est que le monde doit changer”

C’est la phrase-pivot du Signe, on pourrait dire : sa ligne directrice, largement développées par l’enseignement de son témoin. Ce message est avant tout un nouvel appel à un bouleversement de société auquel tant d’hommes ont espéré de ceux qui prétendaient le promouvoir mais qui n’ont rien fait dans ce sens.

la Gache dans les Hautes Alpes

Mais, et c’est capital à comprendre, ce changement ne peut être provoqué par les ressources propres du système (politique, lois, institutions profanes ou religieuses, réformes économiques ou sociales, etc.), pas plus que par les croyances, pas seulement religieuses d’ailleurs, qui prétendent opérer une transformation de l’individu pour prix d’une simple adhésion à un credo ou de pratiques qui n’engagent guère les hommes à changer.

que l’homme change pour que change le monde

Le changement du monde ne peut reposer que sur une réforme radicale de l’individu selon les principes qu’expose à nouveau ou auxquels renvoie le Signe et que l’on retrouve, par exemple, dans l’Évangile : l’amour du prochain, y compris de ses ennemis, qui est autant inconditionnel qu'il ressort non de sentiments ou d'affinité, mais du devoir; le pardon des offenses; la recherche de solutions pacifiques; la raison par-delà les besoins et les désirs; la libération des préjugés et autres peurs; le refus de la domination comme de la soumission, etc.

Ce sont les contours de la vie spirituelle telle que l’entendent les pèlerins d’Arès, par ailleurs indissociable d’une métaphysique aussi simple que subtile, qui sous-tend l’ensemble de ce message.

du spirituel à l’histoire

La vie spirituelle est au cœur de l’histoire humaine. Une déficience de la dimension spirituelle chez les individus se traduit par la barbarie, qu’elle se pare ou non des atours de la civilisation. Toute avancée dans la vie spirituelle se traduit immanquablement par une bonification de la société humaine. Poussée à son ultime logique, elle peut se traduire par la transfiguration de l’humanité.

En corollaire, on ne peut comprendre ce document si l’on occulte un autre aspect fondamental d’ordre ontologique que mettent en avant les pèlerins d’Arès : l’homme n’est total que spirituel, et c’est lui qui décide de l’être. L’homme au sens originel est donc tout autre chose qu’un animal pensant ou politique, une machine sophistiquée, un paquet de cellules intelligentes, etc.

Les sciences et savoirs qui évacuent cette dimension chez l’être humain (en fait pratiquement toutes) peuvent établir des constats véridiques sur la réalité ambiante. Elles ne pourront jamais apporter de solution pérenne à la crise de l’humanité en refusant d’intégrer dans leur raisonnement à la fois la question de l’âme — dans le Signe, l’âme est le produit de la vie spirituelle —, et la possibilité pour l’individu de se créer et de développer cette âme.

vers Ferrassières à la pointe méridionale de la Drôme provençale sur le plateau d'Albion

C’est de ce point de vue que l’on peut considérer des perspectives de libération inédites (au-delà de tout ce que les espérances politiques, sociales ou économiques peuvent laisser entrevoir). Notons au passage que dans la culture occidentale, le sens de l’âme peut être très différent de celui entendu dans le Signe.

L’une des conséquences du changement de l’individu — et donc de sa libération —, tôt ou tard perceptibles, est de ressentir le lien qui unit chaque individu au reste de l’humanité, et ses pleines souverainetés et responsabilités comme contrepartie indissociable de sa liberté retrouvée.

le nombre a fait l’histoire, l’âme doit faire l’avenir

Une fois ce point-pivot établi, un constat tout aussi impérieux s'impose : la pénitence de l'homme ne peut réellement s'exercer dans les grandes masses humaines. Autrement dit, aucune évolution décisive de l'humanité ne peut s'y produire. Citons Michel Potay : "La pénitence qui mène à la Vie est individuelle et libre. Le salut est individuel et libre. L'homme, étant social, n'a qu'un moyen de retrouver totales individualité et liberté, c'est de vivre au milieu d'un petit nombre d'individus libres." (entrée : "La pénitence dispersera la masse")

Autrement dit encore, la vie des individus au sein de masses (ou en troupeaux — Le Signe 2/2) est donc une calamité, dans la mesure où elle ne permet pas à l’homme de développer le Bien que chacun peut ressentir au fond de lui. Les raisons de ce qu’on peut nommer une aliénation (qui se traduit chez l'homme par une incomplétude) sont nombreuses, et les principales feront l'objet d'une publication ultérieure.

Les grandes masses sont en réalité artificielles au regard des réalités humaines qui les composent, peu importe le pouvoir central, la ”culture” ou le corpus législatif qui les font tenir. Ainsi, des collectivités aux aspirations variées et qui développent des modes de vies créatifs, intéressants, heureux en somme, finissent par subir des malheurs historiquement bien recensées : crises économiques et sociales, révolutions, guerres, sans parler des innombrables injustices.

Même en France, pays apparemment unifié et uniforme, il n’est qu’à passer d’une région à l’autre, parfois d’une ville à l’autre au sein d’une même région, pour voir combien les dynamiques sociales et l’activité économique peuvent différer. Ainsi, entreprendre à Paris n’a rien à voir avec entreprendre à Marseille.

village des Alpes de Haute Provence

La massification non seulement impose une seule vision de l’être humain et du monde, bizarrement souvent celle d’une minorité agissante, passons. Elle transforme également l’inévitable flou de toute conception des êtres et des choses, en une espèce de dogmatique figée, impérieuse et désastreuse, qui se pose en vérité absolue, et qui appauvrit les peuples tant matériellement que spirituellement.

On l’a vu en France avec les guerres de religion, quand il aurait fallu au contraire revenir à de petites unités permettant la coexistence plus pacifique entre des ”flous” sans prétention d’exclusive.

la vocation spirituelle étouffée par le rêve de l’accumulation matérialiste

Cette question est en réalité aussi ancienne que l’histoire de l’humanité. Elle est pourtant plus qu’aiguë depuis le XIXe siècle qui a vu s’inscrire la destinée des peuples du monde sur une même ligne de développement : une nation-masse obéissante sous une autorité politique centrale, appuyée sur sa loi, et au service d'un productivisme effréné.

Les pouvoirs en place mènent une uniformisation considérée comme inévitablement planétaire des institutions politiques, du légalisme, des infrastructures économiques et des lignes philosophiques, au service de ce que l’on peut nommer l’accumulation matérialiste qui a transformé la planète en une grande usine.

Bouyon dans les Alpes Maritimes

On a cru et déclaré que c’était le seul schéma général capable de donner la paix et le bonheur. Or n’importe quel mouvement social (comme celui des Gilets Jaunes récemment et tous ceux ailleurs dont on ne parle jamais) montre que les hommes aspirent certes au bonheur matériel, mais sentent bien qu’il existe autre chose à conquérir dans leur existence, et sont malgré tout restés très divers.

2.3 naissance du projet

Le projet de recomposition des grandes masses en petites unités humaines est au moins aussi ancien que le Signe lui-même. À bien y regarder, il l’est tout autant que tous les messages prophétiques du passé, même si le sujet en a depuis longtemps disparu.

Pour autant, ce n’est que peu à peu que la conscience d’une telle perspective a grandi au sein du mouvement des pèlerins d’Arès, principalement sous l'impulsion du frère Michel, indissociable de la déculturation qui ne cesse de s’effectuer progressivement dans les esprits qui suivent son enseignement. C’est dans les années 2010 que la question s’est posée de façon ouverte, ainsi qu’on peut le voir ci-dessous.

2.4 sources du projet

Ce projet est à relier à cinq sources principales :

plage de Nice

Ce document n’a pas vocation à faire l’apologie des sources ou l’hagiographie des personnes concernées, type de présomption de toute façon contraire à l’esprit du mouvement arésien dans son ensemble. Il s’agit simplement de bien cadrer l’origine du propos et ses particularités.

3 contexte de publication et objectifs du document

3.1 contexte de publication

Le message du Signe s’adresse avant tout au monde occidental — toute révélation dans l’histoire a pris en compte les spécificités humaines variables d’une région du globe à l’autre, même si le fond reste identique. Ainsi, les problématiques de l’humanité en Orient et en Afrique se présentent sous un jour différent.

Pour autant, ce message est d’autant plus intelligible que l’on porte déjà en soi le souci de l’humanité, comme une femme enceinte se soucie de l’enfant dont elle va accoucher et qu’elle aidera à grandir. Observer et connaître le monde est inséparable de la volonté de le changer — on ne peut faire évoluer que ce dont on participe.

Malgré le relatif isolement dans lequel il s’est retrouvé, le frère Michel, témoin et porteur du Signe a toujours montré une attention soutenue face aux tourments de l’Histoire, comme aux autres maux qui accablent l’humanité, observants les mouvements qui parcourent les cœurs et les esprits. Le changement de vie — autrement appelé pénitence —, n’a de sens qu’avec l’autre, toute l’humanité.

Ainsi le Signe fait de son dépositaire un vigile (XVI/14, XXVIII/27), et par extension, de tous ceux qui lui emboîtent le pas. La vigilance est inséparable de l’amour évangélique (ἀγάπη). Elle est autant d’avertir de dangers que court l’humanité, que d’opportunités d’évolution positive que le sens de l’Histoire fait apparaître par-delà le brouillard de la culture ambiante, le fracas du monde environnant et les bruit (une notion que l’on retrouve dans le Livre du Signe) des faiseurs d’opinion.

On trouve ainsi deux invitations explicites à reprendre en mains le cours de l’Histoire dans la partie du Signe de 1977 : le conflit israélo-arabe en 1977 et l’annonce de la guerre d’Afghanistan. On se reportera au message et aux annotations pour plus de détails.

En filigrane, on perçoit également l’annonce de bouleversements de société en cours ou à venir. On se rappellera par exemple l’effondrement du bloc de l’est (et le clou de la conférence de presse tenue le 9 novembre par Günter Schabowski, secrétaire du Comité central chargé des médias en RDA, membre du bureau politique du SED), alors que peu croyaient à l’époque à la probabilité d’un tel événement qui ne dura que quelques mois. S’en suivirent l’éclatement de l’ex-Yougoslavie (puis quelques années plus tard la guerre au Kossovo), mais aussi les épisodes des luttes armées dans le Caucase, pour s’en tenir au destin de l’ex-URSS et des pays attenants.

Bref, la vigilance appelle à considérer avec gravité mais aussi espérance tous ces événements, ainsi que d’autres phénomènes. De la technologie envahissante à l’hypertrophie des lois étouffantes et la paralysie des institutions (qui se veulent Europe de cinq cents millions ou gouvernement mondial), en passant par le maintien ou la croissance d’empires humains colossaux confrontés à des séparatismes qui finissent en guerres civiles ou fratricides. Dans ces bouleversements, les peuples demeurent privés de conscience collective et livrés aux mains d’une poignée de riches et de puissants qui ne lâchent rien de leurs richesses ni de leur pouvoir, même dans les "démocraties" tout au plus virtuelles. D’où entre autres, la persistance de mouvement populaires qui expriment autant un trop-plein qu’un manque comme ce fut le cas récemment avec les gilets jaunes auxquels participèrent nombre de pèlerins d’Arès.

Dans la foulée du fondateur de leur mouvement, quelques pèlerins d’Arès ont pris l’initiative, timide et maladroite en ses débuts, de créer un comité dit "de vigilance", initiative qui ne peut venir que lentement dans une anarchie spirituelle (voir ci-dessus), donc sans chef ni hiérarchie ni règlement intérieur.

Le présent manifeste s’inscrit dans le cadre encore mouvant et spontané de cette initiative, reliée à d’autres par les liens de la conscience collective et de la collaboration fraternelle.

Les pèlerins d’Arès veulent ainsi prendre une part active non seulement au débat mais aussi à la réforme de l’humanité en avançant cette perspective des petites unités qui ne revient que trop rarement dans les débats.

D’un point de vue encore plus inhabituel pour la culture ambiante, ils affichent par là le souci d’éviter des siècles de recherche et de tâtonnement, à la fois éprouvant et incertains, et durant lesquels le point de non-retour (impossibilité de retrouver la vie spirituelle qui compromettrait l’aventure humaine) pourrait être atteint.

3.2 objectifs du document

En sus d’exposer et d’expliciter un aspect méconnu de l’apostolat des pèlerins d’Arès, ce document permet de partager une direction d’évolution de la société qui peut bénéficier aux femmes et aux hommes soucieux de la destinée humaine, mais qui ne partagent pas forcément leurs termes de foi.

Puisse également cette initiative amener le plus grand nombre de lecteurs, pèlerins d’Arès ou non, à acquérir ou développer le sens de l’Histoire. L’ambition n’est pas de former une nouvelle génération d’historiens — étudier l’Histoire pour le simple savoir n’a pas grande importance —, mais de contribuer à créer les conditions pour que l’appel à refaire l’Histoire soit enfin entendu, cette dernière n’étant somme toute que l’enchaînement de maux humains où çà et là flottent quelques îlots de bonheur.

En corollaire, ce document questionne l’académisme historique dont l’un des traits marquants est d’accréditer la thèse d’une nécessaire ou bénéfique, c’est selon, évolution de l’humanité vers des sociétés de masses soumises à des pouvoirs et cadrées par des lois. On se reportera à l’un des commentaires de la bibliographie jointe (en cours d’élaboration) qui rappelle combien la question des petites unités est peu traitée dans l’abondante littérature consacrée à la vie en société.

Les pèlerins d’Arès œuvrent pour toute l’humanité. Tout un chacun peut ainsi librement puiser à ces idées. Il est simplement demandé de pas leur attribuer de propos qui ne sont pas les leurs.

Ajoutons que ce manifeste est également un hommage à tous les hommes, passés, présents et à venir qui portent le souci de l’humanité dans leur cœur. Parmi eux, Jean Giono, chantre de la Provence qui nous tient particulièrement à cœur en tant que Marseillais. Dans ses écrits, parfois visionnaires, toujours emplis d’un grand amour de l’humanité, on trouve entre autres : "Souviens-toi, tout le bonheur des hommes est dans de petites vallées. Bien petites; il faut que d’un bord à l’autre on puisse s’appeler." (Jean le Bleu — chapitre : les Tapis Magiques, Paris 1932)

En revanche, ce document n’est pas un outil de propagande, avant tout pour la simple et bonne raison que les pèlerins d’Arès ne sont pas des propagandistes d’idées ou de doctrines. Ils ne font pas non plus à proprement parler du prosélytisme, et ne cherchent pas à convaincre le public auquel il s’adresse. L’engagement des personnes que peut toucher le message du Signe ressort avant tout d’un libre mouvement de conscience pour rejoindre ce qui s’apparente à un nouvel exode qui fait appel à la volonté et aux efforts de chacun.

Enfin, il est pour l’instant hors de propos d’esquisser les réalités pratiques de la vie en société dans les petites unités humaines. Elles ne pourront jamais être la simple transposition des supports de la vie sociale actuelle, ne serait-ce que par la nécessité de dépasser l’accumulation matérielle qui a atteint un stade d’hybris aujourd’hui et d’où, doit-on le rappeler, ne sort pas le bonheur. La vie dans les petites unités permettra à l’homme de se repenser, autant qu’elle sera permise par une remise en cause significative.

4 surface sociale du projet et public de destination

Ce projet trouve certes son origine dans le mouvement des pèlerins d’Arès, et il est porté à Marseille par l'association loi 1901 des ouvriers de la Moisson en Provence, sise au 38 rue st-Savournin dans le premier arrondissement.

Mais il est peut être fait sien par toute personne qui porte en elle le souci d’un autre avenir pour l’humanité, même si les rédacteurs ne se font guère d’illusion sur l’écho qu’il pourra trouver dans l’immédiat, et surtout, sur les éventuels retours constructifs qu’ils pourraient en avoir.

On peut trouver la référence de cet état d’esprit dans le verset 8 de la Veillée 25 de l’Évangile donné à Arès (première partie du Signe) : ”Donne tes filles à leurs fils”, qui peut être pris au sens imagé de : ”Partage tes idées avec tous ceux animés par la volonté de changement du monde”.

Cette volonté de changement du monde peut se manifester de multiples façons. D'où l'image de sentiers vers les Hauteurs (le Signe plusieurs références), qui évoque la participation d'hommes venus d'horizons parfois très divers, mais animés par cette même foi en une humanité redevenue une.

Toute collaboration future pourra être envisagée sous une forme associative loi 1901 (en préparation) qui garantira la liberté de croyance et d’opinion des participants, tout comme elle permettra de s’assurer sur leurs intentions.

5 liens sur le Web

On pourra se rapporter à ces liens pour élargir l’horizon du propos.

6 remarques générales

Ce document a été initialement rédigé sous LaTeX dans l’environnement TeXShop. Une partie de l’écriture brute du texte a été réalisée sous Vim pour des raisons de commodité. La page html a été générée par TeX4ht puis retravaillée en éditeur.

en cours de réalisation

En parallèle de cette page Web, un document plus étoffé est en cours d'écriture et aborde les points suivants :